Ovni dans le 66 avant 2001
04 février 2018

06/10/1973 : des résidus enflammés tombent d’un OVNI entre Font-Romeu et Carcassonne

Dessin_T1-light

Ce témoignage ancien provient du catalogue VERONICA :

PIC DE MAUROUX (près de FONT-ROMEU)

Le 06 octobre 1973.
"Monsieur Georges L., 66 ans est retraité des P et T, domicilié à BOURG MADAME (66800).
Le 06 octobre 1973 à l'aube, le ciel est très dégagé, sans nuage. Il gèle fort, la température est entre -5 et - 8 degrés.

Il fait encore nuit, M.L. qui se prépare pour aller à la chasse aux canards, se rend sur sa terrasse vitrée afin de voir le temps et de se vêtir en conséquence.
C'est alors qu'il voit une lueur très vive en direction du NE vers FONT-ROMEU, au dessus du "Pic de MAUROUX". Il prend d'abord cette lueur pour Vénus mais se rappelle de suite que ce n'est pas la position habituelle de cette planète. Faisant immédiatement des calculs assez précis, il estime l'angle d'observation de 18 à 20° en partant de la base du Pic, et à une distance variant entre 80 et 100 km soit au dessus de la région de CARCASSONNE.

A 6h40, la lueur n'avait pas bougé. le jour commence à se  lever. M L. se munit de ses jumelles de grossissement 8 et se dirige vers son étang situé à 1 km 500 de BOURG MADAME. Arrivé sur les lieux, il regarde à nouveau dans le direction de l'objet, il le retrouve au même endroit. Malgré l'arrivée dominante du jour, sa luminosité n'a pas diminué. A la jumelle il distingue alors comme deux gros phares côté à côté. Le soleil apparait sur la commune d'ANGOUSTRINE. Instantanément, les deux phares s’éteignent et M. L. distingue la carlingue d'un appareil grisâtre de la grosseur de la "lune vieille", muni à sa base de hublots comme un train de nuit. La base extrême de l'appareil s'illumine de couleurs mélangées, un peu comme l'arc en ciel, avec des dominantes violets et orange. Puis des sortes de résidus enflammés tombent lentement de l'OVNI à la verticale. L'engin disparait subitement,  bien que le champ visuel de M. L. avec ses jumelles soit large de plus de 10 km, une ou deux secondes à peine après l’extinction des deux phares. Quant aux résidus, 3 seulement descendirent au sol, le 4e resta en l'air. Pensant que son observation n’a plus d'intérêt, M.L. qui commence à grelotter sérieusement, rentre dans sa cabane de chasse. La fin de la chute des trois résidus lui est masquée par une haute rangée d'arbres."

D'autres témoins observent le même phénomène.
- 4 à EUS (commune entre PRADES et VINCA) 66500
- 1 à  ILLE SUR TET 66130
- 1 à PAZIOLS 11530
Ainsi que de nombreux vendangeurs.

Complément d'information :
L'OVNI de 1973 en Cerdagne, un vieux cas qui donne du fil à retordre !


28 mars 2015

Prospection sur le site d'une rencontre du 3e type à Cabestany

rr3-1
"C'est alors que j'ai vu une silhouette humaine se détacher de l'immense clarté à l'intérieur."

Philippe nous avait confié son aventure extraordinaire de l'été 1976 : une rencontre du 3e type avec un objet posé au sol près des vignes de son oncle à Cabestany. En pleine nuit, alors qu'il attendait dehors son cousin qui devait venir le chercher en mobylette pour se rendre à Perpignan, son regard fut attiré par une lumière intense derrière le mas de son oncle. Connaissant très bien les lieux, il savait qu'à cet endroit rien ne pouvait expliquer cette luminosité. A l'époque, il n'y avait aucune habitation, aucune route et aucun véhicule n'aurait pu s'aventurer dans ce terrain. En se rapprochant, il aperçut 2 entités humanoïdes filiformes, l'une de très grande taille et l'autre dans les même proportions mais de petite dimension. Les silhouettes de ces deux êtres se tenaient debout devant un rectangle lumineux d'un blanc intense. Philippe ne pouvait pas distinguer le reste de l'engin posé au sol mais il savait que cette scène n'avait rien d'ordinaire. Quand son cousin l'a rejoint, celui-ci ne voulut pas rester et préférait s'éloigner le plus vite possible de cet endroit. Philippe avait insisté pour retourner voir la suite de la scène et c'est là qu'il aperçut dans le ciel l'engin s'éloignant à très basse altitude à une vitesse très lente, "trop lente pour une masse aussi importante". Il l'observa jusqu'à disparation dans la couverture nuageuse de cette nuit orageuse.

Quelques années plus tard, Philippe était retourné sur les lieux, pensant que peut-être quelques traces au sol pourraient confirmer ce qu'il avait observé en 1976. Proche de la nature, fils d'agriculteurs, Philippe avait remarqué que les plantes avaient subi une sorte de traumatisme dans leur croissance. Tiges tordues, feuilles déformées, plantes alambiquées... quelque chose de perceptible était différent à cet endroit précis.

Prospection sur le terrain, 40 ans plus tard

Le 7 mars 2015, nous avions rendez-vous à l'endroit du supposé atterrissage, à Cabestany. Guillem nous accompagnait avec du matériel de détection. Notre but : vérifier s'il restait une trace, un résidu, quelque chose de perceptible que les appareils auraient pu mesurer. Nous savions qu'après 40 ans, les chances étaient minces, surtout après une bonne centaine de labourages et des années de pluies, de sécheresse, de vents et d'érosion... Il fallait pourtant tenter le coup, histoire d'en avoir le coeur net.

3NANOS
Deux détecteurs Geiger Müller et un contrôleur de champ magnétique

Pendant plus de deux heures, nous avons marché près de Guillem armé de ses trois instruments de mesure sur le terrain dans lequel Philippe avait observé l'engin posé au sol et les deux êtres humanoïdes. Nous avons comparé les valeurs hors du site, près du site et à l'intérieur du périmètre indiqué par le témoin. Nous avons élargi le champ de recherche jusque dans les terrains voisins.

prospection3

A l'endroit où Philippe avait remarqué une transformation dans la croissance des plantes, les valeurs étaient sensiblement les mêmes qu'ailleurs. Pendant ces trois heures de prospection, j'en ai profité pour discuter avec le témoin principal. Il m'a raconté à nouveau son observation dans les moindres détails. Nous avons repris quelques mesures, je lui ai posé des questions précises. J'avais en tête son premier récit qui datait de 2010 : la chronologie exacte des évènements, le déroulement de l'action, chaque geste effectué, chaque sensation ressentie, les interactions avec son cousin, les angles, les distances, les directions... Rien n'avait changé. Mots pour mots, gestes pour gestes, il n'a pas modifié son récit d'un iota. Il faut se rendre à l'évidence, Philippe a bien vécu une expérience extraordinaire et même si notre prospection sur le terrain n'a pas donné de résultat mesurable, j'ai toute confiance en la sincérité du témoin.

Cet article est un complément d'enquête. Les détails de cette RR3 sont ici :
xx/08/1976 - Cabestany : objet posé au sol + 2 humanoïdes

Posté par blogovni66 à 23:08 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , , , , , , , ,

15 septembre 2014

L'auteur auto-proclamé de l'affaire UMMO est décédé le 09/09/2014 à Madrid

jose-louis-jordan-pena-fpdd

L'affaire UMMO existe depuis les années 60. Elle a fait longtemps couler beaucoup d'encre dans les milieux ufologiques. Et pour cause, des centaines de lettres anonymes dactylographiées reçues par des scientifiques et personnalités pendant près de 50 ans décrivent des concepts qui abordent de nombreux domaines de la science tels que l'astrophysique, la biologie, l'astronomie, la chimie et la cosmologie d'une manière si pointue que la plupart des destinataires ne savaient qu'en faire. Ces lettres anonymes étaient revendiquées comme étant d'origine extraterrestre.

En 1993, José Luis Jordán Peña s'auto-proclame l'auteur de cet extraordinaire canular qui fait aujourd'hui l'objet de nombreuses publications. Depuis, la plupart des ufologues ayant pris la peine d'étudier ces lettres ont tourné la page sur ce dossier fumeux.

 

Pourtant, le doute persiste sur l'origine réelle de ces milliers de pages dactylographiées dispersées sur plusieurs continents en plusieurs langues. Elles sont, pour la plupart, rédigées en espagnol mais on en trouve aussi en français et en anglais.

Quelques scientifiques, dont Jean-Pierre Petit, astrophysicien, déclarent s'être inspirés de ces documents pour leurs recherches. Ce dernier s'en serait servi pour élaborer le système de propulsion MHD (magnétohydrodynamique) et un modèle de cosmologie sur les univers gémellaires (une solution au problème de la matière sombre).

PENA-2012

José Luis Jordán Peña, décédé le 9 septembre 2014 à l'âge de 82 ans emporte avec lui le secret de ces documents qui gardent tout de même un certain mystère.

En effet, pour certains, il paraît impensable qu'une seule personne ait pu perpétuer ce canular pendant de si nombreuses années sur des sujets aussi variés tout en gardant une certaine logique au fil du temps.

Les ummites de la planète UMMO vont-ils se manifester pour contredire les sceptiques ? L'avenir le dira.

Posté par blogovni66 à 23:05 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , ,

08 janvier 2013

OVNIS dans le 66 de 1954 à 2000

liste-ufo-ovni2

MENU DEROULANT :


Ces cas n'ont pour l'instant pas trouvé d'explication satisfaisante. Ils sont donc, par définition, des Phénomènes aériens non identifiés et dans certains cas, Objets Volants Non Identifiés. Nos connaissances évoluent, la science avance et il est possible que l'on revienne sur ce classement en fonction d'éléments nouveaux. Le terme OVNI est, par défaut, provisoire.

Tous les articles antérieurs à 2001 sont listés dans la rubrique "de 1954 à 2000" (bouton "OVNIS dans le 66" du menu en haut). Si vous avez conservé dans vos archives de vieux articles de journaux locaux concernant le département 66 relatifs à des observations d'OVNIS ou de phénomènes aériens non identifiés, vous pouvez nous aider à partager ces informations en nous envoyant une copie. Merci d'avance.
Contact : info@ovni66.com

Posté par blogovni66 à 22:21 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , , , , , , , , , , ,

17 juin 2012

25 mars 1976 - Thuir : Observation d'un engin surmonté d'un dôme par 3 témoins.

THUIR__66__25
THUIR__66__25
THUIR__66__25
Source GEIPAN :
Le 25 mars 1976 vers 14h30 un automobiliste et ses passagers qui roulaient sur la CD48 entre Thuir et Camelas, observent dans le ciel un engin lumineux se déplaçant Est-Ouest. De grandes dimensions et de forme ovale surmonté d'un dôme, il reste dans leur champ de vision durant une minute avant de disparaître brusquement. Aucun autre témoignage ne sera recueilli sur ce phénomène.

Classé D1 par le GEIPAN (fiche du cas)
lien vers le PV de Gendarmerie

Posté par blogovni66 à 13:23 - - Commentaires [1] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , , , ,


13 juin 2012

xx/xx/1972 - Près de Perpignan : photo d'ovni au sol

img001 (590x558)Cette photo parue dans un livre de Jean-Claude BOURRET est censée avoir été prise pas loin de Perpignan (selon diverses sources) en 1972. Malheureusement, ni dans l'ouvrage "OVNI, l'armée parle" ni ailleurs, nous n'avons pu trouver de plus amples renseignements concernant les conditions de cette prise de vue.

Pierre GUERIN (ancien Directeur de recherche à l'institut astrophysique du CNRS, décédé en 2000) avait étudié et analysé cette photo. Son rapport indique que celle-ci est exempte de trucage ou artefact chimique ou photographique.

Philippe SCHNEYDER, ufologue et écrivain en a fait la couverture de son livre "OVNI premier bilan" paru en 1983. L'original de la photo (en couleur) provient des archives de la gendarmerie. 

Schneyder-Philippe-Ovni-Premier-Bilan-Livre-284887099_MLMais qui sont les témoins ?

Si cela s'est passé près de Perpignan ou dans les Pyrénées-Orientales, quelqu'un a dû entendre parler de cet évènement. Ce n'est pas tant la photo qui nous intéresse mais les conditions de prise de vue et le témoignage qui accompagne cette photo. 

Peut-être connaissez-vous les personnes témoins de cet évènement ? Avez-vous des renseignements concernant cette photo ou son auteur ? Merci de nous contacter à info@ovni66.com.

Posté par blogovni66 à 18:08 - - Commentaires [2] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , , ,

20 mars 2011

12/12/1987 - RR3 près d'une usine de traitement d'uranium à 50 km de Perpignan

centrales_perpignan

Rencontre du 3e type à 50 km de Perpignan :

Le 12 décembre 1987, un témoin dit avoir rencontré prés d'une ruine un groupe de 6 personnes étranges avec lesquels il échange quelques mots. Ces êtres mesurent entre 1 mètre et 1 mètre 50, et l'un d'entre eux dessine au sol deux signes. Ils partiront sur des engins sans moteur et sans roues ressemblant à des traineaux.

Classé D par le GEIPAN puis révisé en en 2013.
(manque d'information, témoin unique, aucune trace retrouvée)

Lien vers le PV de Gendarmerie

La peau de ces gens était froide et lorsqu'ils m'ont abandonné, les scooters ont quitté le sol lentement. Puis ce fut un bruit terrible (...) Ils se déplacent à bord d'engins très clairs ressemblant à des scooters de neiges.

Lieux de l'observation 

COMURHEX-AREVA / MALVESI à Narbonne (11) :
Situé à 3 km au nord-ouest de la ville de Narbonne (Aude), l’établissement COMURHEX de Malvési occupe une surface de 100 ha du territoire de la commune, sur l’emplacement d’une ancienne mine de soufre.

Capacité de production :
La capacité de production annuelle de l’usine est de 14 000 tonnes d’uranium sous forme UF4. La production d’UF4 était de 13 254 tonnes en 2003 et 14 000 tonnes en 2005. Les unités de production d’uranium métal ont une capacité de 1 750 tonnes par an pour le traitement par magnésiothermie et de 50 tonnes par an pour le traitement par calciothermie. Il s’agit d’une des plus importantes usines de conversion de l’uranium au monde, produisant plus du quart de la capacité mondiale. Sources (2006) : CRIIRAD - Rapport Final N° 06-88

Deux mois plus tôt, le 04 octobre 1987 à 16h30, un témoin qui se trouvait à Les-Pennes-Mirabeau (13) observait 2 engins volants ayant la forme d'un traineau volant à basse altitude silencieusement et à grande vitesse. Etonné par l'aérodynamisme des objets, il avait remis un croquis aux enquêteurs qui correspond à la description des "scooters volants" de Comurhex-Aréva Malvési.

01 janvier 1998

03/12/1979 - Perpignan : plusieurs témoins observent un OVNI

Dans l'après-midi du dimanche 3 décembre 1979, des habitants du quartier Saint-Assiscle à Perpignan, ont observé dans le ciel un phénomène assez curieux. Selon divers témoignages parvenus à la rédaction de l'Indépendant, les témoins ont aperçu, à une altitude paraissant très élevée, un objet de forme ronde, se déplaçant assez lentement d'Est en Ouest et dégageant une intense lueur jaune, comme une grosse ampoule électrique indiquait une habitante du quartier. Fait plus curieux, l'OVNI durant la période d'observation, a changé à la fois de couleur, passant du jaune intense à un bleu-vert très lumineux, et de forme, prenant l'aspect d'un croissant.

Le phénomène a été observé durant 4 à 5 minutes, entre 15h et 15h30. Les témoins indiquent que l'OVNI a disparu comme par enchantement.

Source : l'Indépendant

Posté par blogovni66 à 05:00 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , ,

28/12/1973 - Perpignan : un gigantesque disque observé par 3 témoins

Perpignan - 1973

 L’observation se situe à l’occasion d’une foire agricole qui s’était tenue deux jours durant, vraisemblablement le vendredi 28 décembre 1973. Sur les indications des témoins, hésitants sur la date, nous avons pu retrouver un article de la « une » du quotidien local « L’Indépendant » qui mentionne bien l’observation dans la région, du même phénomène. Outre qu’elle s’intègre dans la grande vague française de 1973-1974, elle présente donc l’intérêt de s’inscrire dans le cadre d’une mini vague locale.

A mi-chemin du chemin du Mas Bresson en direction du sud, non loin du cimetière du Sud à Perpignan, sur l’emplacement actuel d’un centre équestre non encore bâti à l’époque des faits, les témoins, M. JC., trente-cinq ans, son épouse, Mme J., vingt-neuf ans et leur fils S. âgé de 7 ans, circulent à bord d’une Citroën DS. Les environs sont déserts, il s’agit d’une petite route de campagne bordée de champs et d’une seule maison de maître, face au lieu de l’observation, dénommée « Les hirondelles ». La nuit est tombée et bien qu’il y ait eu un peu de pluie la veille et que la nuit fut assez sombre, la visibilité était excellente et le ciel dégagé.

Les témoins rentrent donc à leur domicile après avoir fait l’acquisition d’un taille-haie électrique à une foire agricole de Perpignan. Ils situent l’observation entre 19h30 et 20h30. A un moment, l’attention des parents, M. JC. et Mme J., est attirée par les exclamations de leur fils S. qui depuis la banquette arrière, tape sur l’épaule de sa mère en lui disant : « Maman, il y a une soucoupe volante, il y a un ovni ! ».

Agacée, Mme J. finit par regarder par la fenêtre de son véhicule et aperçoit alors, comme son mari et son fils, un « gigantesque disque », immobile dans le ciel, d’une couleur que les témoins décrivent comme blanc-vert phosphorescent, « comme un ver luisant » selon Mme J., une luciole selon S. La lumière vive qui émane du phénomène forme un halo phosphorescent autour de la forme circulaire, laquelle n’éblouit pas les yeux des témoins qui ne se souviennent pas si la campagne alentours s’en trouvait éclairée. S’ils ne peuvent observer, de leur position, la partie supérieure de l’objet, la partie inférieure leur semble légèrement bombée. L’objet semble parfaitement circulaire. Les témoins ne peuvent observer ni sa forme, ni son épaisseur, ni même s’il est constitué d’une matière solide reconnaissable. Les lieux sont déserts, durant tout le temps de leur observation les témoins n’apercevront personne. Sans sortir de leur véhicule, de crainte qu’il ne leur arrive quelque chose, les parents coupent le moteur et observent le phénomène durant un temps qu’ils estiment compris entre cinq et dix minutes. Le fils S. est plus fasciné qu’apeuré par la manifestation.

Le disque n’émet pas le moindre mouvement, il semble totalement immobile lorsque les parents observent le phénomène. S. quant à lui l’a observé quelques centaines de mètres et quelques secondes auparavant. L’objet se situait alors à droite de la route et S. affirme l’avoir vu se déplacer lentement jusqu’à la position qui sera la sienne au moment de son départ. Les témoins affirment n’avoir constaté aucun effet sur eux-mêmes, ni sur la DS. M. JC. tentera d’actionner ses phares par intermittences, dans le but d’obtenir une réaction, mais l’ovni n’en aura aucune.

Ce qui frappe les témoins, c’est la taille du phénomène. Les témoins l’estiment, tout en émettant de sérieuses réserves sur leur capacité à estimer cette altitude, comme comprise entre cent cinquante et deux cent cinquante mètres de diamètre. Le fils, S. indique quant à lui avec certitude que l’objet dans le ciel présentait un diamètre apparent d’environ cinquante centimètres et qu’il se trouvait dans le second temps de l’observation, visible à un angle de 30 degrés par rapport à la position des témoins. L’altitude de l’objet en vol stationnaire leur semble être comprise entre 600 mètres et un kilomètre, même si les témoins reconnaissent volontiers qu’ils ont pu mal l’estimer, eu égard aux proportions de l’ovni. Même s’il est situé beaucoup plus en hauteur, Mme J. mentionne le fait qu’ils avaient presque l’impression de pouvoir le toucher tant l’ovni occupait l’essentiel de la vision qu’ils pouvaient avoir du ciel.

Durant l’observation, les témoins échangent peu, stupéfaits par ce qu’ils observent mais se souviennent avoir sciemment décidé de rester pour observer le phénomène et s’être demandé s’ils étaient eux-mêmes observés par l’ovni et ses éventuels occupants.

Enfin, au bout de quelques temps et sans que ce déplacement n’entraîne le moindre bruit (bang supersonique ou autre) ou déplacement d’air, l’ovni s’envole horizontalement en direction du sud-ouest et du proche massif du Canigou à une vitesse lente dans un premier temps en direction du massif du Canigou au sud-ouest. Pendant ce déplacement, S. a le temps d’apercevoir deux autres ovnis circulaires, en tout points similaires à l’ovni principal quoi que beaucoup plus petits, encadrer le premier à égale distance, les trois ovnis étant tous deux munis d’une courte traînée conique, rougeâtre et effilée. Dès le départ du phénomène, M. JC. redémarre son véhicule pour dépasser une haie de cyprès qui bouche sa vision mais l’ovni s’est propulsé à l’horizon en une fraction de seconde et les témoins observent un point lumineux en mouvement au loin. Ils peuvent donc affirmer que l’objet s’est bien déplacé et ne s’est pas volatilisé ou dématérialisé.

Les témoins choisiront tout d’abord de ne pas partager leur observation mais ils ont l’occasion d’en parler le lendemain avec un voisin qui fait part, en des termes vifs, de son scepticisme à l’égard des observations d’ovnis dans la région que relate le quotidien « L’indépendant ».

L’édition du 29 décembre 1973 du journal local « L’Indépendant » fait effectivement mention de l’observation d’un phénomène similaire observé dans l’Hérault et dans les Pyrénées-Atlantiques. La couleur, « tirant sur le vert », (l’article fait mention du halo lumineux « vert bleuté », de la « traînée verdâtre » qui accompagnent l’ovni) confirment l’observation de M. JC., Mme J. et du jeune S.

indep_29_12_1973

indep2_29_12_1973

Dans une édition ultérieure de « L’Indépendant », en date du 3 janvier 1974, on trouve de nouveau mention de ce phénomène. L’ovni observé dans les Pyrénées Orientales, à Céret, Villemolaque et Arles sur Tech, y est décrit ainsi : « Un petit objet ovoïde, d’un blanc intense et entouré d’un halo lumineux blanc. Il laissait échapper une traînée d’un bleu verdâtre visible dans le ciel ».

indep3_03_01_1974

Ces phénomènes, quoique manifestement observés à plus grande distance par les témoins cités dans la presse que par M. JC., Mme J. et le jeune S., semblent bien renvoyer au même phénomène.

Mme J. me fait part du fait que les réactions de son entourage l’amenèrent à ne plus vraiment parler de cette observation. Elle précise que celle-ci a conforté une croyance au phénomène « soucoupes volantes » qui était déjà la sienne avant cette observation. Les témoins sont des travailleurs acharnés, qui n’ont guère de temps à accorder à la lecture. Pour autant, ils connaissent comme chacun en 1973 le phénomène ovni, Mme J. et son fils S. ayant acheté et lu à l’époque un livre ufologique, dont ils ne se souviennent plus de la référence. Le fils S. se souvient d’avoir suivi les émissions de Jean-Claude Bourret sur France-Inter. Leur intérêt pour la SF est quasi nul. Aucun des témoins n’avait absorbé d’alcool, de drogues ou de médicaments de quelque nature que ce soit au moment des faits. Cette observation a suscité chez les témoins à la fois une immense stupeur teintée de crainte pour les parents, beaucoup de curiosité et une certitude personnelle sur l’existence matérielle des ovnis.

Les points saillants de cette observation sont les suivants :

- l’observation est collective. Si les témoins appartiennent à la même famille, les schémas mentaux, l’univers culturel des parents et de leur jeune fils de huit ans sont très différents. En outre, les témoins ne se signalent ni par une pratique assidue de la moindre religion ou philosophie, ni par un intérêt notable pour la question des ovnis qu’ils n’ignorent pas comme tous leurs contemporains.

- Les dimensions de l’objet comme la durée significative de l’observation excluent une confusion avec une cause triviale.

- Comme dans de nombreuses observations, l’objet est totalement silencieux y compris lorsqu’il atteint une vitesse manifestement supersonique.

- D’autres d’observations d’ovnis ont eu lieu à peu près au même moment dans les jours qui précédaient leur observation. Les témoins furent rassurés de savoir que d’autres avec eux avaient aperçu quelque chose.

- Les lieux sont déserts, une seule bâtisse à proximité et des champs. Aucune zone industrielle ou commerciale ni terrain militaire ou d’aviation proche ne pourrait apporter un élément de réponse quant à une confusion, que les dimensions de l’ovni excluent catégoriquement par ailleurs.

L’observation peut être décomposée en 4 phases, telles que figurant sur la carte :

Phase 1 : L’ovni est aperçu par S. une centaine de mètres avant la phase d’immobilisation du phénomène. L’objet se situe (en haut à gauche du plan) au dessus d’un champ, à droite du véhicule qui roule alors sur le chemin du Mas Bresson.

Phase 2 : L’ovni se déplace en direction du Sud-Est jusqu’à atteindre la position mentionnée en phase 3. Le déplacement qui dure à peine quelques secondes, n’est perçu que par le jeune S., ses parents ne s’apercevant de la présence du phénomène qu’en phase 3.

Phase 3 : Le phénomène est aperçu par M. JP et Mme J. qui stoppent leur véhicule pour l’observer. L’ovni reste immobile durant un temps significatif, 5 à 10 mn.

CARTE_28_12_1973

Coordonnées géographiques supposées du phénomène en phase 3.
42° 39’ 40.21’’ N - 2° 52’ 24.43’’ - Altitude : 356 mètres 

Phase 4 : Le phénomène se déplace lentement en direction du Sud-Ouest. Apparition des deux petites sphères qui encadrent l’ovni principal et de la traînée conique de couleur rougeâtre, puis, à peine quelques secondes après le démarrage du point situé en phase 3, envol à une vitesse exceptionnelle en direction du massif du Canigou.

Rétro-enquête par Thibaut CANUTI

Posté par blogovni66 à 03:33 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , , , ,

xx/08/1976 - Cabestany : objet posé au sol + 2 humanoïdes

Un objet posé près d'une vigne à Cabestany

C'était fin août 1976, autour de minuit, le temps était très orageux. Je sortais d'un petit Mas habité par mon oncle. Ce mas, à l'époque était assez isolé et situé en campagne, au bord d'une route secondaire et entouré de vignes. En sortant du mas j'ai eu la sensation d'une présence, j'ai alors tourné la tête du coté où se trouve un chemin de terre débouchant sur des vignes en contre-bas. J'ai alors aperçu une énorme lumière mais qui ne se reflétait pas vers l'extérieur, une lumière intensément blanche mais confinée dans son habitacle, elle ne rayonnait pas, je suis formel. Comme je connaissais très bien le secteur, je savais pertinemment que rien ne pouvait se trouver à cet endroit sans que je le sache. J'ai donc pris l'initiative d'aller voir de plus près. Je me suis engagé sur le chemin de terre à pied en longeant le mur du mas sur une cinquantaine de mètres et j'ai observé. J'étais abasourdi par ce que je voyais. En contre-bas de la vigne un objet qui me paraissait de forme rectangulaire, les angles droits se découpaient bien dans l'obscurité, cet objet concentrait une lumière intense qui emplissait entièrement l'objet.

vignes2

J'étais à l'arrêt à l'angle du mur qui donne à l'arrière du mas. Connaissant les lieux et la hauteur approximative du mas ainsi que la hauteur approximative du dénivelé de la vigne par rapport à la route, j'en ai déduit qu'il devait mesurer une quinzaine de mètres en longueur et 7 à 8 mètres de hauteur. C'est alors que j'ai vu une silhouette humaine se détacher de l'immense clarté à l'intérieur. Cette silhouette était entièrement noire, très grande et filiforme avec de longs bras très minces. Elle semblait regarder dans ma direction. Tout à coup une deuxième silhouette s'est elle aussi détachée de la lumière, elle avait les mêmes proportions mais était de taille plus petite. A mon échelle on aurait dit son enfant. Ils semblaient regarder dans ma direction, ce que je trouvais très surprenant. J'ai ensuite voulu m'approcher pour comprendre ce que j'avais devant mes yeux. Il faut vous dire, que je ne me suis jamais laissé impressionner facilement et quand j'ai décidé d'avancer j'avance.

Le témoin est gentiment prié de ne pas s'approcher...

Le problème c'est que je me suis retrouvé comme sans réaction au moment d'avancer plus vers la chose. Je me suis alors forcé me disant qu'on ne réussirait pas à m'empêcher d'aller voir de plus près. Curieusement j'avais l'impression qu'une voix douce, humaine (d'homme) s'adressait à moi, mais à l'intérieur de ma tête. Elle semblait dire : "n'approche pas plus près, cela ne servirait à rien, ce n'est pas le moment..." J'ai alors eu tout le corps parcouru de frissons et curieusement j'ai compris qu'ils avaient raison. Je me suis senti très paisible et mon subconscient ayant compris le message je me suis éloigné.

Reconstitution sur le terrain

Nous avons rencontré le témoin, la cinquantaine, un homme très sérieux, sympathique. Nous avons discuté avec cet ancien chef d'entreprise pendant deux heures et nous n'avons pas trouvé de contradictions dans ses propos. Le terrain privé a été un petit peu remanié depuis 1976 mais le petit mas est toujours là. L'objet posé se trouvait dans une cuvette depuis laquelle on ne peut rien voir à 360°. Ce détail a son importance. En effet, on peut constater que l'engin posé ne pouvait être vu de nulle part à la ronde, sauf depuis l'endroit précis où se trouvait le jeune homme de l'époque, près du mas.

S'il avait fallu poser en terrain ennemi un hélicoptère en difficulté, on ne pouvait trouver meilleure place. Sauf que là, il ne s'agit pas d'hélicoptère ni de rien de connu. L'engin, avec sa forme rectangulaire et sa taille imposante reste non identifiable.

Pendant la reconstitution nous avons pu calculer que le grand être mesurait au minimum 4 mètres en tenant compte du dénivelé du terrain. Mais l'engin se trouvait-il complètement posé ? Difficile à dire.

rr3_last

Reconstitution. L'engin (en blanc) mesurait environ 15 m de long et 7 m de haut.

Quand ces êtres ont remarqué la présence du témoin, le plus petit a pris la main du grand. Ce geste qui peut paraître anodin, a immédiatement rassuré le témoin sur leurs intentions pacifiques.

Quelques précisions supplémentaires

Philippe n'était pas seul. Son cousin, plus jeune, qui était venu le chercher en mobylette et qui se trouvait en retrait sur la route goudronnée près du Mas, a bien remarqué la clarté lumineuse intense qui se dégageait de la cuvette en contrebas. Il est resté sur sa mobylette à attendre Philippe. Impressionné par l'incompréhension de ce qu'il voyait, il ne s'est pas approché. Il était impatient de repartir vers Perpignan.

Quand Philippe a rejoint son cousin en ayant renoncé à s'approcher plus près de l'OVNI, ils se sont engagés sur la route en direction de Perpignan. Mais quelques centaines de mètres plus tard, le témoin principal a souhaité retourner sur les lieux. Il fallait qu'il comprenne absolument ce qui venait de se passer. C'est à ce moment là que tous deux ont remarqué dans le ciel un engin qui semblait plus grand encore, avec 3 demi sphères disposées en triangle, collées dessous. L'engin s'éloignait vers l'Est, sous le plafond nuageux, à une vitesse extrêmement réduite dans un vrombissement que l'on pourrait comparer à celui que l'on entend quand on se trouve près de ligne à haute tension (ou près d'un transformateur). A l'intérieur de chaque demi sphère, on pouvait distinguer des arcs électriques rougeoyants. L'objet posé au sol, lui, avait disparu.

Quelques années plus tard, Philippe est retourné sur les lieux, pensant que peut-être quelques traces au sol pourraient confirmer ce qu'il avait observé en 1976. Proche de la nature, fils d'agriculteurs, Philippe a tout de suite remarqué que les plantes avaient subi une sorte de traumatisme dans leur croissance. Tiges tordues, feuilles déformées, plantes alambiquées... quelque chose de perceptible était différent à cet endroit précis.

Malheureusement, aujourd'hui il ne reste rien qui puisse confirmer ses dires. La terre a été plusieurs fois labourée et des vignes ont été plantées à l'endroit du supposé atterrissage.

Philippe n'a jamais parlé à personne de cette observation pendant tout ce temps par peur du ridicule. Père de famille, chef d'entreprise, tenant à sa réputation, il a souhaité garder l'anonymat et préserver des curieux la localisation exacte du lieu de l'observation.

22_08_1976_strasbourgRecherches complémentaires :

Nous avons passé quelques heures aux Archives Départementale des Pyrénées-Orientales pour vérifier si les journaux de l'époque avaient relaté une observation similaire dans la région ou ailleurs à peu près aux mêmes dates. Un autre témoignage aurait en effet pu corroborer celui-ci.

Nous avons trouvé sur l'Indépendant un article datant du 22 août 1976 concernant l'observation d'un ovni pendant plusieurs heures par 4 témoins dont 2 gendarmes dans la région de Bouxwiller (Bas-Rhin) puis à Saverne. Etait-ce le même engin ? Nous ne le saurons jamais mais la coïncidence est troublante.

L'année 1976 fut très riche en observations d'ovnis accompagnés d'êtres humanoïdes. C'est d'ailleurs en août 1976 que le célèbre journaliste Jean-Claude Bourret annonçait la sortie de son premier livre "Le nouveau défi des O.V.N.I" aux éditions France Empire.



 

 



(suite) 4 ans après cet article, à lire :
Prospection sur le terrain à la recherche de traces.

Posté par blogovni66 à 03:30 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , , , , , ,