Vol en patrouille de drone et d'avions pilotés, ça existe !
© Dassault Aviation - K. Tokunaga - drone + avions d'affaires et de combat
Le 20 mars 2014, Dassault Aviation a organisé un vol en patrouille du nEUROn avec un Rafale et un Falcon 7X. C’est la première fois au monde qu’un drone de combat effectue un vol en formation avec d’autres appareils, en l’occurrence un avion d’affaires et un avion de combat. L’ensemble de l’opération a duré 1 h 50 mn et a emmené la patrouille au-dessus de la Méditerranée sur plusieurs centaines de kilomètres suite...
Pierre nous signale cet article chez Dassault-Aviation en nous faisant remarquer que l'objet volant non identifié noir observé à Calais le 17 octobre 2014 - suivi de près par un avion de tourisme - n'est peut-être pas un cas si rare, même si pour Dassault il s'agissait d'une première mondiale début 2014. On se souvient que les deux aéronefs venaient de la centrale nucléaire de Gravelines et que le témoin avait dans un premier temps supposé qu'il s'agissait d'un drone militaire en patrouille avec un petit avion piloté. Une hypothèse qui paraissait improbable...
Toujours pas de nouvelles de ces OVNIS qui survolent les centrales nucléaires
En l'absence de photos ou vidéos publiques de ces "drones" dont les caractéritiques s'éloignent des modèles d'aéromodélisme, on s'autorise à les qualifier d'objets volants non identifiés. Récemment, samedi 3 janvier 2015, deux aéronefs non identifiés ont survolé le périmètre de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine dans l'Aube. Depuis le mois d'octobre 2014, pas moins de 18 sites nucléaires ont été survolés par des ovnis sans que l'on puisse déterminer leur origine.
On devrait peut-être enseigner le Ball-Trap au personnel de ces sites sensibles :o)
24/11/2014 - Drones et installations nucléaires : ces objets dont tout le monde parle mais que personne ne veut montrer
OPECST : Drones et sécurité des installations nucléaires
Le 24 novembre 2014, l'OPECST* invitait différents intervenants en commission pour discuter des drones et de la sécurité des installations nucléaires. On y apprend entre autre qu'un drone aurait été suivi par des gendarmes en hélicoptère - sans qu'ils n'aient pu l'atteindre - et qu'à Golfech, un "drone" survolant la centrale a été poursuivi par des gendarmes au sol, en vain.
Y. Rousselet : "ces objets dont tout le monde parle mais que personne ne veut montrer"
[1:55:00] Yannick Rousselet (Greenpeace) :
"(...) J'entends parler par-ci par-là de petits drones, de drones légers, que le risque est faible (...). Le fait qu'il y ait de nombreuses intrusions concertées nous met dans l'inquiétude. Je rappelle tout de même que le 31 octobre au soir on entend parler de 6 sites survolés en même temps, on a quand même des témoignages de gendarmes sur le site de nucléaire de Creys-Malville qui parlent de survols dans des conditions météo de vents de 70 km/h et avec de la pluie, on a des hélicoptères à Golfech qui suivent pendant 9 km ces drones, il y a au moins un drone qui circule entre Flamanville et l'établissement AREVA de la Hague sur 18 km, ce qui veut dire que là, la thèse de petits drones, petits jouets ne tient pas. (...). "
[1:57:35] Le Président de la Commission :
"On nous a dit l'inverse tout à l'heure, qu'il n'y a pas eu d'hélicoptères qui aient suivi des drones, on a posé la question, donc d'où tenez-vous vos sources ?"
[1:57:52] Yannick Rousselet (Greenpeace) :
"Écoutez, dans tout gendarme il y a un citoyen qui sommeille et il peut supposer que la centrale nucléaire située près de chez lui n'est pas au top de la sécurité et il peut régulièrement nous appeler ainsi que des agents EDF ; nous avons donc des témoignages, ils ont sûrement moins de valeur que ceux des services de l'état. Les services de l'Etat pourraient vous montrer à vous parlementaires les photos et vidéos dont ils disposent, vous auriez un peu plus d'informations et plus de transparence. Nous savons qu'elles existent et il aurait été souhaitable que ces photos et vidéo soient aujourd'hui produites puisque nous avons des professionnels de drones, ils auraient peut-être pu vous aider sur la capacité de ces objets dont tout le monde parle mais que personne ne veut montrer. Nous savons que ces images existent puisqu'à Flamanville ces objets ont été filmés et photographiés. Il suffirait de montrer les choses pour avoir un peu plus de transparence."
"Je maintiens qu'aucun hélicoptère n'a été en concomitance avec un drone au-dessus d'une centrale."
[2:02:00] Général de Brigade (Gendarmerie Nationale) :
"Je maintiens qu'aucun hélicoptère n'a été en concomitance avec un drone au-dessus d'une centrale (...) en revanche, M. Rousselet a raison lorsqu'il évoque l'épisode de Golfech où effectivement la gendarmerie a pu suivre un drone, c'était à partir du sol, non pas à partir des airs, en effet pendant plusieurs kilomètres, le PSPG a pu suivre par voiture ce drone avant qu'il ne disparaisse."
[2:07:57] Denis Beaupin (député) :
"Qui est derrière cette opération de survols ? (...) Aujourd'hui, nous ne savons toujours pas comment des gens peuvent organiser le survol d'installations nucléaires pendant des semaines et des semaines en échappant à l'ensemble des services de surveillance du pays. (...) La préoccupation est sérieuse. (...) Le fait qu'on ne sache pas qui est derrière cette opération, après tant de temps, après tant de services mobilisés, de mon point de vue, c'est particulièrement préoccupant. "
Qui peut se permettre des intrusions concertées dans notre espace aérien ?
L'hypothèse "espionnage par une puissance étrangère" semble la meilleure. Elle justifierait que les autorités ne publient pas les photos et vidéos de ces objets volants non identifiés - qualifiés de drones - dont l'autonomie et la capacité de déplacements dépassent celle de jouets et modèles radiocommandés classiques. Il semble que la piste s'oriente maintenant vers quelque chose de bien plus sérieux que l'hypothèse "militants écologistes" ou "passionnés d'aéromodélisme".
Lien vers la vidéo intégrale de l'Assemblée Nationale (2h44 ) :
http://videos.assemblee-nationale.fr/video.6118
*OPECST : l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) est né en 1983 du constat, par l’Assemblée nationale et le Sénat, qu’ils n’avaient pas toujours les moyens d’apprécier la portée de la politique et des projets gouvernementaux dans des domaines très techniques. Les deux assemblées ont donc décidé de se doter d’une délégation interparlementaire, l’OPECST, chargée d’éclairer l’action du Parlement en matière scientifique et technologique. À cette fin, l’Office recueille des informations, met en œuvre des programmes d’études et procède à des évaluations. Il peut être saisi par le Bureau de l’une des deux assemblées, par un président de groupe, par soixante députés ou quarante sénateurs ou par une commission. Composé de dix-huit sénateurs et dix-huit députés, l’OPECST est présidé alternativement par un sénateur et par un député. Il est assisté par un conseil scientifique formé de personnalités choisies en raison de leurs compétences.
30/10/2014 - le témoin de Calais (avion + drone ou RC) revient sur son témoignage
© www.aviation-design.fr - Rafale 1/5 - 3,20 m de longueur - 2 x 18 kg ou 1 x 33 kg de poussée
On se souvient d'Hervé, témoin d'une observation insolite à Calais le 17 octobre 2014. Suite à l'information nationale concernant le survol de centrales nucléaires par des drones non identifiés, il est maintenant persuadé que ce qu'il a observé correspond tout à fait aux descriptions données par les médias. Il ajoute que "l'avion de chasse modèle réduit" provenait certainement de la centrale nucléaire de Gravelines. L'avion de tourisme et le "petit rafale" suivaient l'axe Gravelines vers l'aérodrome de Marck.
Perpignan, le même jour, axe de l'avion non identifé près du centre pénitentiaire
Le même jour deux heures plus tôt à Perpignan, Jérome signalait le passage d'un aéronef noir de petite taille près du centre pénitentiaire, sans que l'on puisse identifier son origine. Selon ce témoin l'avion s'est illuminé en jaune deux fois avant de disparaître de sa vue à cause du mur d'enceinte de la prison.
Capture d'écran d'une vidéo de démonstration d'un Rafale radio-commandé
Les articles concernant cette affaire :
- 17/10/2014 - Perpignan : un témoin observe un ovni près du centre pénitentiaire
- L'hypothèse "aéromodélisme" pour l'ovni du 17/10/2014 jugée peu crédible
- Existe-t-il un modèle réduit de Rafale ? Second témoin le 17 octobre.
- Le Rafale non identifié du 17 octobre, de Perpignan à Calais
- Vidéo d'un Rafale radio-commandé
La description et le profil des aéronefs décrits par les deux témoins du même jour semblent de facture humaine (drone, aéromodélime, prototypes RC) qui reste, pour le moment, d'origine non identifiée.
03/04/2012 - Toulouse/INSA : conférence du GEIPAN
Mardi 3 avril 2012, le GEIPAN (Groupement d'Etudes et d'Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés) était invité par l'INSA (Institut National des Sciences Appliquées) à Toulouse pour une conférence en trois parties. Le public jeune était principalement composé d'étudiants et d'une poignée d'ufologues. La salle de l'amphithéâtre était comble et l'ambiance plutôt studieuse et passive (à part quelques réactions offusquées de courte durée concernant la rareté des cas D présentés).
Le Directeur du GEIPAN :
Xavier Passot a dressé un bref historique du GEIPAN, ses relations avec le CNES (Centre National d'Etudes Spatiales), le fonctionnement de cette institution unique en son genre et quelques cas étudiés récemment. Il s'est montré extrêmement prudent quant à l'interprétation des observations d'OVNIS qu'il reçoit quotidiennement et nous a fait clairement ressentir son scepticisme par rapport aux phénomènes non identifiés dans leur ensemble. C'est sans ambiguïté qu'il aborde le sujet d'une manière rationnelle, scientifique et pragmatique. Reconnaissant que les cas d'une haute étrangeté sont plutôt rares, il n'a pas manqué de nous démontrer que les cas les plus courants sont des méprises ou erreurs d'interprétations, photos, schémas et vidéos à l'appui (Sprites, satellites, effets de Flare, reflets, bolides, spectre de Brocken, "cocarde du pilote", lanternes thaï, etc.) et que le rôle du GEIPAN consiste à répondre à une forte demande d'explications par un public souvent peu ou mal informé sur le ciel, la météo, l'astronomie et l'aéronautique en général.
Pour les cas restés non expliqués, Xavier Passot distingue les cas D1 (cas inexpliqué peu consistant avec un caractère d’étrangeté marqué) et D2 (phénomènes très étranges et "de consistance forte" avec plusieurs témoins indépendants, et/ou des enregistrements photo ou vidéo, et/ou des traces au sol) des anciens cas D (phénomène non identifié), amenant ainsi quelques précisions utiles à la classification destinée aux chercheurs et au public.
Malgré son excessive prudence, M. Passot a su convaincre de l'utilité du rôle du GEIPAN et de la nouvelle dynamique qu'il compte insuffler à cet organisme d'utilité publique.
Romain Bouvier, chercheur en psychologie au CNRS :
Ce jeune scientifique a tenté de nous expliquer que le comportement d'un enquêteur (sa manière de poser les questions, le vocabulaire utilisé, la gestuelle) pouvait influencer le récit du témoin de manière inconsciente et qu'il était donc important que celui-ci soit formé aux techniques interrogatoires appropriées à ce genre de situation. Fort de ses connaissances en psychologie cognitive, M. Bouvier a donné quelques exemples démonstratifs (vidéos et sonores - qui n'ont pas manqué de faire rire le jeune public), concernant les phases d'étonnement, d'émerveillement, de peur et de panique de certains témoins face à un phénomène qu'ils n'identifient pas sur le moment. L'exposé était rapide et le phrasé un peu maladroit (M. Bouvier semblait vouloir rester discret sur sa méthode tout en nous faisant partager son enthousiasme) mais ce chercheur en psychologie avait l'air très sûr de lui, parlant d'hypothèses de nature psychologique, de phénomènes psychopathologiques et schizophréniques... des termes qui font évidemment bondir certains ufologues. J'ai bien aimé sa remarque : "La moitié des erreurs judiciaires est due à des erreurs d'évaluation des témoins oculaires". La brièveté de son exposé concernant les méthodes interrogatoires calquées sur celles utilisées par la police ou les agents d'assurance n'a pas permis de rendre compte de la portée de ses recherches mais elles semblent prometteuses. J'ai retenu que sa méthode permettrait de différencier les souvenirs réels des souvenirs induits ou construits, entre autres. Les enquêteurs de terrain auraient fort à gagner à suivre une formation de ce type.
Michael Vaillant, informaticien et statisticien :
Cette partie pouvait paraître un peu ardue mais aurait largement mérité un prolongement tant le sujet était à la fois original, riche et pointu. Michael nous a épargné les formules mathématiques complexes, algorithmes et autres tortures de l'esprit en réussissant à vulgariser au maximum son exposé.
Cartes géographiques des cas :
Partant de cartes géographiques sur lesquelles sont pointés les cas répertoriés au niveau national, Michael Vaillant a essayé de découvrir quels étaient les points communs entre certaines de ces observations et la géographie locale. Les paramètres tels que la densité de population, le taux d'ensoleillement, la présence d'aéroports, les sites de stockage, de traitement ou centrales nucléaires, confrontés à la présence de phénomènes aériens non identifiés font l'objet d'une étude scrupuleuse et factuelle, sans états d'âmes ou subjectivité.
Les résultats sont troublants : après avoir nettoyé des cartes les PANS de type A, B, C, il ressort qu'il y aurait une corrélation entre la présence de PAN D et tout ce qui est lié au nucléaire. Ce fait étonnant est passé presque inaperçu pendant la conférence et personne n'a relevé sur le moment l'importance de cette découverte qui suscitera certainement de nombreuses interprétations et commentaires dans un avenir proche. Michael Vaillant propose d'ajouter des variables pour essayer d'aller plus loin dans cette voie de recherche.
Chronologie des vagues :
Une autre étude démontre que les vagues d'ovnis - à un niveau mondial cette fois-ci - (communément admises par leur réelle popularité) ont une fréquence régulière dont la durée est exponentielle dans le temps. M. Vaillant suggère que ce rythme ressemble a celui d'un apprentissage programmé, sans se risquer de préciser si celui-ci est dû à une volonté extérieure ou plus simplement à un traitement médiatif porté par un inconscient collectif. La prochaine vague importante serait même prévisible : 2035.
Michael Vaillant a fait un travail remarquable. La publication de ces constats est attendue avec impatience !
Réserves :
L'enregistrement de cette conférence étant interdit, j'émets donc quelques réserves sur la fidélité de mon compte-rendu concernant la dernière partie de conférence. Michael Vaillant pourra corriger s'il le souhaite.
Pascal Guillaumes pour OVNI66.
Les éoliennes au service de "l'air nucléaire"
Opération "nettoyage du ciel" dans l'Aude et les Pyrénées-Orientales
Cette nuit, un tiers du parc éolien a été mobilisé pour éloigner le panache radioactif qui survole les départements 66 et 11 depuis le 31 mars. Ainsi 2 éoliennes sur 6 ont dû incliner leur rotor vers le ciel dès 23h hier soir. Elles fonctionnent maintenant en mode négatif : au lieu de générer de l'électricité, celles-ci en reçoivent pour activer les pales et servir ainsi de ventilateurs géants.
33% des éoliennes de l'Aude et du Nord des Pyrénées-Orientales ont été savamment orientées pour éloigner le nuage vers la méditerranée pendant les 3 prochains jours.
Dommage pour les poissons...
29/03/2011 : Retombées sur la France des rejets radioactifs de la centrale nucléaire de Fukushima
Le nuage radioactif est-il un phénomène aérien suffisamment insolite pour qu'on en parle dans ce blog ?
Les produits alimentaires sensibles, notamment les légumes à larges surface de captage – type épinards, salades, blettes... – devraient présenter des niveaux de contamination très faibles mais mesurables et qui vont progressivement augmenter. Ceci ne concerne que les cultures de plein champ ou les cultures sous serre arrosées avec de l’eau exposée aux retombées radioactives. La contamination se répercutera, avec quelques jours de retard, sur les aliments dont la contamination est indirecte, en particulier sur le lait (si bien sûr les animaux sont dans les champs – où ils broutent une herbe exposée aux retombées – et non pas en stabulation). Les activités attendues sont très faibles et correspondent donc à de très faibles niveaux d’exposition.
Extrait du communiqué CRIIRAD du 29/03/2011
Document complet : Source CRIIRAD - Corinne Catanier
Le nuage radioactif est-il un phénomène aérien suffisamment insolite pour qu'on en parle ici ?
Selon la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité) le niveau de contamination en iode 131 annoncé par l'IRSN est sous-évalué. Elle réitère son appel à se mobiliser afin que tous les résultats d’analyse du réseau du CTBTO soient rendus publics. Les Etats qui s’y opposent doivent être identifiés. C’est par exemple le cas de la France. Chaque citoyen doit connaitre l’identité de ceux qui le privent d’informations fiables sur le niveau de radioactivité de l’air qu’il respire.
Sources CRIIRAD :
- Sous-évaluation du niveau de contamination de l'air :
http://94.23.16.204/criirad_telechargement_pdf/iode_131_irsn_air.pdf
- Dissimulations concernant la radioactivité de l'air
http://94.23.16.204/criirad_telechargement_pdf/11_03_25_doe_ctbto.pdf
A suivre...
OVNI - OPINION : Missiles nucléaires désactivés par des OVNIS
Des officiers militaires retraités rendent publics leurs témoignages concernant les incursions répétées d'OVNIS sur les sites nucléaires militaires américains. Ces OVNIS auraient désactivé à plusieurs reprises des missiles nucléaires. Le 27 septembre 2010 s'est tenue la conférence du National Press Club. Elle a été diffusée en direct sur CNN.
Intervenants :
1. Robert Salas, ancien officier USAF de lancement de missiles nucléaires.
2. Dwynne Arneson, USAF Lt. Col. Ret., officier responsable de centre de communication.
3. Robert Jamison, ancien officier USAF de ciblage de missiles nucléaires.
4. Charles Halt, USAF Col. Ret., ancien commandant de base adjoint.
5. Jerome Nelson, ancien officier USAF de lancement de missiles nucléaires.
6. Patrick McDonough, ancien USAF expert géodésique sur site de missiles nucléaires.
7. Bruce Fenstermacher, ancien officier USAF de lancement de missiles nucléaires.
La vidéo dure 1h27, elle est sous-titrée en français depuis le 13 octobre grâce à EP & JLG pour ProjectAvalon.net. Compte-tenu de l'importance de ces témoignages d'officiers militaires, il est très probable que cette diffusion ne sera pas sans conséquence sur l'opinion publique.